Le magazine de France 3 «Pièces à conviction» a consacré mercredi 18 novembre son dernier numéro à la situation des Ehpad particulièrement touchés par l’épidémie de Covid-19. Dans un court extrait mis en avant par la chaîne avant la diffusion, nos confrères se sont focalisés sur l’utilisation de deux médicaments dans le cadre de soins palliatifs chez des résidents d’Ehpad atteints du Covid-19, le Rivotril et le midazolam.
Dans l’extrait très partagé sur les réseaux sociaux, «Pièces à conviction» aborde plus spécifiquement les scrupules du personnel soignant qui a administré ces traitements «jusqu’alors interdits» selon France 3. «Quand une personne âgée n’est pas hospitalisée [par manque de lits] et qu’ensuite, ce qu’on lui propose, c’est une sédation dès l’instant qu’elle va présenter une détresse respiratoire… Ma première réaction, ça a été : on nous demande de faire une euthanasie passive auprès de nos résidents», témoigne Sandra Rotureau, cadre de santé. Une médecin d’Ehpad public
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